VDAB gagne un e-FA award dans la catégorie 'gouvernement flamand'

<Katleen De Pauw – Manager Accounting>

Toute personne qui a une question en lien avec l’emploi peut s’adresser à nous. Nous sommes aussi bien au service des employés, des employeurs que des demandeurs d’emploi. Nous fournissons des services d’emploi, nous proposons des formations professionnelles et nous voulons nous assurer que toute personne occupe un emploi durable et porteur de sens. Cela fait déjà 20 ans que nous avons pris le tournant du digital et de l’automatisation. Pour nous, c’était une évidence de sauter – très rapidement – à bord du train de l’e-facturation. Cela fait donc très longtemps que nous y travaillons.

<Sarah De Coninck – Experte provinciale administration centrale des fournisseurs >

Nous travaillons avec une grande variété de fournisseurs, environ 3000. Nous traitons chaque année environ 40 000 factures entrantes. Sur toutes ces factures entrantes, 90% nous parviennent via le réseau PEPPOL. L'envoi d'une e-facture électronique est une économie pour nous. Pour le client, cela allège la charge administrative qu'entraîne une facture papier.

<Dirk Somers – Responsable achats opérationnels & gestion des connaissances >

Comment continuer maintenant ? Nous nous tournons vers l’avenir. L’e-facturation n’est pas la fin de l’histoire : si vous voulez aller jusqu’au bout de la relation avec vos fournisseurs, l’e-ordering est aussi un facteur à prendre en compte. Nous avons déjà mis en place certaines choses en ce sens, en collaboration avec la communauté flamande. C’est notre prochain objectif.

<Dieter Cools – Analyste>

Le plus gros obstacle est de convaincre nos fournisseurs de travailler via PEPPOL. Pour les grandes entreprises, cela ne pose pas de problème. Mais le petit boulanger du coin ne se voit pas investir là-dedans. Heureusement, il y a des moyens à la disposition des fournisseurs pour envoyer leur facture via PEPPOL. Il existe suffisamment de points d’accès qui proposent des services gratuits pour pouvoir les envoyer. Il s’agit simplement d’informer suffisamment le fournisseur de l’existence de ces outils. Et c’est ce que nous faisons.

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